Le 9 juillet dernier, les 422 travailleurs de l’usine sidérurgique GKN de Campi Bisenzio (Florence) rentrent chez eux. Quelques heures plus tard, ils reçoivent un SMS : « Fermeture de l’usine, avec effet immédiat. » Ce message va provoquer l’inverse de la volonté de la direction. Explications d’un travailleur depuis son usine. Ouverte.