Pour imposer sa réforme de casse du système solidaire des pensions, le gouvernement français n’hésite pas à passer en force. Ou comment un pouvoir « ni de droite ni de gauche », soutenu par l’establishment, méprise la volonté du peuple, les syndicats, les partis de l’opposition, et les institutions-mêmes. Bienvenue dans la République du 49-3.