« Après les 120 000 du 6 novembre, ce troisième lundi de grève est l’expression démocratique d’un mouvement d’opposition profond, national et interprofessionnel contre le gouvernement Michel - De Wever. Ce mouvement prend de l’ampleur au fur à mesure des semaines et s’enracine dans de plus en plus de couches de la société. Aujourd’hui, le centre du pays est quasiment paralysé et la détermination est bien présente pour gagner le bras de fer contre le gouvernement », commentait ce matin Peter Mertens, le président du PTB, en visite aux piquets de grève à l’aéroport national, à la RTBF -VRT, à la SNCB et à Audi.