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Salim Lamrani est spécialiste des relations entre Cuba et les États-Unis. Il explique les raisons de l'aura de Fidel Castro et la place du leader de la révolution dans une société en mutation.

Le PTB a sondé les participants à la manifestation du non-marchand du 24 novembre. Ce qui surprend dans les chiffres ci-dessous, c’est l’unanimité constatée sur deux points : l’État doit investir davantage dans les soins et le bien-être et il doit s’en donner les moyens en introduisant une Taxe des millionnaires.

À l’athénée royal Jean Absil, à Bruxelles, le personnel  s’oppose aux injonctions de la ministre Schyns (CDH) obligeant l’école à accueillir toujours plus d’élèves. Fin septembre, une majorité du personnel enseignant et ouvrier s’était déjà mis en grève. Leur combat contre la surpopulation prend de l’ampleur, et ils ont déjà obtenu des victoires significatives. Interview de quelques membres du personnel.

Fidel Castro était sans conteste un des dirigeants politiques les plus fascinants et les plus controversés des dernières cinquante années. La petite et réfractaire Cuba a joué un rôle exceptionnel dans l’histoire du monde.

« Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi bon. C’est pourquoi j’aimerais faire un film sur sa vie », a écrit le cinéaste Pedro Almodovar sur le poète communiste espagnol Marcos Ana, mort ce jeudi 24 novembre à 96 ans. Retour sur le parcours étonnant d'un artiste engagé qui a passé 22 ans dans les prisons de Franco, deux fois condamné à mort et dont la mémoire est saluée en Espagne et en Amérique latine.

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Ils étaient plus de 20 000, aujourd'hui, à Bruxelles, à s’époumoner pour demander plus d'investissements dans les soins, le bien-être et la culture. Tous dénonçaient les politiciens du MR, de la NV-A, du CD&V, de l'Open VLD qui coupent dans ces budgets pourtant nécessaires. Avec, comme figure de proue, Maggie De Block, son austérité et sa chasse aux malades.

«  L'Europe sera démocratique, durable et sociale, ou ne sera pas », Peter Mertens, le président du PTB. Il s’apprête à sortir un nouveau livre, Graailand (qu’on pourrait traduire par « Le pays des grappilleurs »), à paraître en néerlandais en décembre. Dedans, il s’en prend à l’élite qui « grappille, gratte et s’engraisse comme jamais auparavant », tout en gelant les salaires des travailleurs et en imposant l’austérité. En voici un avant-goût, où il est aussi question d’une alternative positive pour l’Europe.

Vous vous souvenez de la Loi Peeters ? Mais si, cette réforme du travail que le ministre de l’Emploi a tenté de faire passer durant l’été - et grâce à laquelle il voulait mettre fin à la semaine de 38 heures. Le projet de loi a été approuvé en octobre, mais le mouvement social a réussi à empêcher plusieurs mesures d’y figurer. Cela dit, ce qui reste du texte est toujours inacceptable. Ça tombe bien, car l’histoire n’est pas finie.

Armand De Decker est présenté comme l’homme clé de l’affaire Chodiev en Belgique. Pourtant, un faisceau concordant d’indices démontre que le principal acteur belge du dossier serait plutôt le vice-Premier ministre Didier Reynders. Une analyse du député du PTB Marco Van Hees, qui montre combien il est important que ce dernier siège dans la Commission d'enquête sur le Kazahgate qui vient d'être créée.

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